C'est quoi ? Une bonne adresse pour déjeuner ou dîner simplement à Rennes. Pourquoi y aller ? Le buzz favorise souvent les nouvelles adresses où il est de bon ton de se précipiter. Et, on est revenu au Bocal, un restaurant séduisant depuis longtemps déjà. Parlez-en aux habitués et ils vous diront que c'est une petite adresse appréciée. Ici, d'ailleurs, tout est petit, la surface, les tarifs… Bref, le Bocal est ce qu'on appelle un petit restaurant dans le bon sens du terme. Car dans l'assiette, le chef n'hésite pas à apporter une pointe de créativité. Le pavé de thon est un classique de la maison qui s'adapte à toutes les saisons.
Un bistrot sympathique pour déguster de savoureux produits régionaux. Situé à deux pas de la gare SNCF, l’établissement abrite une superbe terrasse et une piste de palet à l’ombre. On peut même s’y attabler le dimanche, pour un brunch à la française qui vaut le détour.
À la base, Otonali était l’izakaia (auberge en japonais) qui communiquait avec le Comptoir Breizh Café, rue de l’Orme. Mais on connaît la passion de Bertrand Larcher pour la Bretagne et le Japon et puisqu’ il fallait pousser les murs des deux côtés, il n’a pas hésité à installer Otonali sur le quai Duguay-Trouin. C’est donc devenu un restaurant japonais abordable mais d’exception. Yasu Hayashi, le chef, était le second de La Table Breizh Café (1 étoile) à Cancale. Il cuisine donc japonais à partir de produits bretons. Les assiettes sont magnifiques et l’ins- piration du chef fait merveille. On y retrouve des classiques mais aussi des recettes réinterprétées. Superbe et zen, le lieu vous transporte au Japon.
De la couleur sur les tables et à travers les aromates qui parsèment la terrasse. Cette petite adresse gourmande, en plein cœur du quartier des Lices, offre de surcroît l’avantage de savourer des crêpes, galettes et plats du jour à petit prix. Bonnes effluves garanties !
L’été s’est envolé ? Voici une adresse où trouver du soleil au cœur de l’assiette, le midi et le soir ! Entre plats traditionnels sénégalais et cuisine d’ici, la Casa Breizh mêle les saveurs de Casamance aux plaisirs d’Armorique. Au menu : mafé, poulet sauce gombo, poisson yassa, thiou tomate au poulet, magret de canard ou encore entrecôte. De quoi s’évader lors d’un voyage culinaire. Les amateurs de surprises choisiront le plat du chef, Atho, qu’il élabore en fonction de ses idées et des trouvailles du marché. On ne manquera pas non plus de se régaler de son humour et de son sourire chaleureux. Une chose est sûre : ça va bien s’passer !
Sa devanture blanche élégante ne manque pas de raffinement. Flânant place Saint-Germain, elle nous incite à nous installer en terrasse aux beaux jours. Quand le froid survient, nous misons plutôt sur le bistrot intérieur. On y retrouve la chaleur parisienne des années 30-40, décor chic et soigné, carte bistrot et service impeccable. Il y a de quoi se régaler, que ce soit pour un brunch gourmand, un déjeuner ou un dîner. Arancini au chorizo ibérique pour commencer, dos de cabillaud accompagné de linguines aux moules et courgettes et figue rôtie au miel pour terminer. Tentant, non ?
Des crêpes et galettes avec une touche japonaise ! Ces saveurs sont désormais accessibles à Rennes, depuis l’ouverture du Breizh Café, le 15 février. L’enseigne, fondée par Bertrand Larcher et déjà présente au Japon, à Paris, Lyon, Bordeaux, Cancale et Saint-Malo, pose ses fourneaux dans la capitale bretonne pour promouvoir l’amour du sarrasin, une céréale qui ravit autant les palais armoricains que japonais. Avec une présentation au top, ces dernières sont agrémentées de produits de haute qualité tels que du beurre Bordier et du saumon Label Rouge... Une carte nous invite à grignoter les rolls ou autres mets pour l’apéro avec un verre de vin, de cidre ou de saké. L’occasion de déguster en dévorant des yeux le design épuré de l’établissement, dans un mariage subtil entre bois et granit.
L’ancienne prison Saint-Michel est devenue un célèbre repère pour les noctambules. Pour découvrir cet antre aux allures vénitiennes, il faut pousser le pas jusqu’au bout de l’impasse. On y retrouve alors un restaurant, le Biz Bazar, et plusieurs établissements pour danser jusqu’au bout de la nuit…
Soit vous avez envie de découvrir une adresse qui fait le buzz, soit vous voulez manger simple et sain mais créatif. Dans les deux cas, vous pouvez allez chez Fezi dont la cuisine du marché fait merveille. De bons produits du terroir, entre terre et mer avec un penchant pour le circuit court, une cuisine de saison et toujours cette pointe de créativité qui sublime le plat. Poulpe/poivrons fumés/basilic. Cocos/moules/tomates cerises. Lotte/céleri/champignon/café. Rhubarbe/fraise/pets de nonnes… Et à chaque fois, le bon petit vin qui va bien. Avec un excellent rapport qualité-prix.
C'est quoi ? Déjà présent depuis 2004 dans la rue Jules Simon, ce restaurant s’est déplacé de quelques numéros pour occuper les locaux de l’ancienne poissonnerie « La Mouette ». Pourquoi y aller ? Un cadre spacieux et design, des plats insolites comme le tartare de bœuf aux huîtres ou le volcan de chocolat noir et sa glace lavande. Déjà incontournable.
