L'exposition questionne le rapport qu'entretiennent les vivants à la mort et aux morts. Le parcours riche de près de 300 objets propose une plongée dans la diversité des pratiques culturelles liées aux rituels funéraires. De la pompe funèbre du XIXe siècle en France, à la pratique de « danse du cercueil » ghanéenne, les objets présentés témoignent de la volonté des êtres humains à donner du sens à la vie.
Exposition des photographies brodées et perforées de Sabatina Leccia. Des paysages étranges qui invitent à la déambulation onirique. Vernissage le mardi 19 mars à 18h en présence de l’artiste
En partenariat avec Sirennes, festival des cultures de l’imaginaire. Exposition soutenue par webzine culturel Unidivers.
L’exposition questionne la notion d’échelle, le rapport au corps et trouve son origine dans des illustrations autour de l’architecture du quartier Colombier. Du dessin à la sculpture, Valérian Henry réalise l’inventaire d’un paysage urbain, démultipliant les formes architecturales pour créer un alphabet minimaliste et ludique.
Fruit de la rencontre avec le lieu, les fils se tendent dans différentes directions, tissent leurs toiles, se connectent, rebondissent entre le sol et les poutres. Dans un jeu de transparence, la chapelle plonge dans une atmosphère diaphane et colorée.
Le sport dans l'armée de terre, évolution reconstruction
L'exposition temporaire Le sport dans l'armée de Terre, évolution et reconstruction s’articule autour de trois pôles : préparer le soldat, surmonter la blessure, porter haut les couleurs.
Les photographies de Mouna Saboni s'intéressent au fleuve Jourdain, réduit à une rivière polluée que l’on peut traverser en quelques enjambées.
Un territoire où l’on dit que si rien n’est fait, il n’y aura plus d’eau dans une dizaine d’années.
Lieu : Galerie Le Carré d'Art - Centre Culturel Pôle Sud, Chartres-de-Bretagne
Art contemporain
Parterre
Pour cette exposition, Eloïse Foulon regroupe des peintures de différentes dimensions. Ces peintures sont disposées sur des supports à terre, et un sol de papier mâché se déploie activant des liens entre les objets et les images. C'est un nouveau corpus d'œuvres qui est présenté pour l'Orangerie du parc du Thabor.
Les peintures de la série « Kolinus » d'Han Psi sont réalisées sur fonds noirs, peints par l'artiste autour de formes en papier découpé ; ainsi isolées, les parties restées blanches sont peintes en technique mixte.
Quentin Marais joue aussi dans ses sculptures céramiques à créer des formes à la fois familières et incongrues, comme dans un jeu de construction d'enfant ; ces assemblages et ces "barbouillages" sont inspirés par les couleurs et les formes primaires de sa jeunesse.
Exporama - Rennes célèbre le sport par la photographie
Cette sélection de 27 images, proposée sur les grilles du jardin du Palais Saint-Georges, est issue des expositions « Vivre le sport » aux Champs Libres et « Raymond Depardon. Les Jeux Olympiques, 1964-1980 » au Frac Bretagne. Elle figure à la fois l’exploit, la performance, l’effort, la célébration collective et individuelle, la victoire, l’échec ou encore les implications politiques du sport.
Soline Chailloux dessine ou peint ce qui l'entoure et rejoue des moments réels en les tournant en dérision. Avec un trait faussement naïf, elle pose un regard tendre et malicieux sur l'amitié, l'amour.