Papa poule ou pater familias ? Le spectacle dessine un tendre tableau des paternités, des plus archaïques aux plus modernes, sans jugement ni conseils tout faits.
Seule en scène, Anne Brochet raconte, en mots et en mouvements, les longueurs quotidiennes d’une femme dans le grand bain d’une piscine municipale. Un minutieux canevas d’impressions et de souvenirs, tissé avec humour et poésie.
Librement inspirée des "Trois Sœurs" de Tchekhov, cette variation transforme la désillusion, les rêves inassouvis, l’immobilité et l’ennui en un corrosif vaudeville de l’existence.
Seule en scène, Anne Brochet raconte, en mots et en mouvements, les longueurs quotidiennes d’une femme dans le grand bain d’une piscine municipale. Un minutieux canevas d’impressions et de souvenirs, tissé avec humour et poésie.
Librement inspirée des "Trois Sœurs" de Tchekhov, cette variation transforme la désillusion, les rêves inassouvis, l’immobilité et l’ennui en un corrosif vaudeville de l’existence.
Seule en scène, Anne Brochet raconte, en mots et en mouvements, les longueurs quotidiennes d’une femme dans le grand bain d’une piscine municipale. Un minutieux canevas d’impressions et de souvenirs, tissé avec humour et poésie.
Librement inspirée des "Trois Sœurs" de Tchekhov, cette variation transforme la désillusion, les rêves inassouvis, l’immobilité et l’ennui en un corrosif vaudeville de l’existence.
De Robert Antelme, avec Anne Coutureau, m.e.s. Patrice Le Cadre.
L’écriture de Robert Antelme est la parole d’un homme qui perd ses moyens les plus élémentaires et veut rester lucide, voir et montrer. Ne pas submerger ses lecteurs par la fascination, l’émotion, la plainte. Volonté qu’Anne Coutureau a trouvé essentiel de suivre.
Seule en scène, Anne Brochet raconte, en mots et en mouvements, les longueurs quotidiennes d’une femme dans le grand bain d’une piscine municipale. Un minutieux canevas d’impressions et de souvenirs, tissé avec humour et poésie.
Librement inspirée des "Trois Sœurs" de Tchekhov, cette variation transforme la désillusion, les rêves inassouvis, l’immobilité et l’ennui en un corrosif vaudeville de l’existence.
