Huit danseur·euse·s, lézards-acrobates, enchainent des portés aux positions improbables, où haut et bas se confondent. Une expérience époustouflante et éminemment joyeuse !
Un Black & White Ball qui célèbre toutes les identités et qui allie mode, esthétique, danse et performance. Bienvenue dans le monde de la Ballroom Scene où tout est en noir et blanc, aux couleurs du drapeau breton.
Emmené par son chorégraphe star, Ohad Naharin, le Batsheva Ensemble reprend le percutant Naharin’s Virus, vingt-trois ans après sa création.
Une page blanche sur le sol, deux danseuses avec des craies, des enfants ; un univers sonore et visuel se construit petit à petit. Sans un mot, les interprètes jouent avec les sensations et tissent une relation intime avec les spectateurs.
Une page blanche sur le sol, deux danseuses avec des craies, des enfants ; un univers sonore et visuel se construit petit à petit. Sans un mot, les interprètes jouent avec les sensations et tissent une relation intime avec les spectateurs.
L'adolescence est un grand continuum sans forme, sans règles… Il s’agit donc de créer ici un rite de passage : partir du football, du dribble pour abandonner l’enfance, accueillir la transformation qui s’opère !
a k entrepôt
teNir est un dialogue entre un cube évidé, une danseuse et des fils. Peu à peu, une toile se dessine, occupe le cube, le remplit, pour révéler un espace libre dans lequel le corps va trouver place et se lover, pour TENIR, s’y TENIR, un cocon, une place à soi, pour habiter le monde.
© Jeanne Paturel
a k entrepôt
teNir est un dialogue entre un cube évidé, une danseuse et des fils. Peu à peu, une toile se dessine, occupe le cube, le remplit, pour révéler un espace libre dans lequel le corps va trouver place et se lover, pour TENIR, s’y TENIR, un cocon, une place à soi, pour habiter le monde.
© Jeanne Paturel
a k entrepôt
teNir est un dialogue entre un cube évidé, une danseuse et des fils. Peu à peu, une toile se dessine, occupe le cube, le remplit, pour révéler un espace libre dans lequel le corps va trouver place et se lover, pour TENIR, s’y TENIR, un cocon, une place à soi, pour habiter le monde.
© Jeanne Paturel
a k entrepôt
teNir est un dialogue entre un cube évidé, une danseuse et des fils. Peu à peu, une toile se dessine, occupe le cube, le remplit, pour révéler un espace libre dans lequel le corps va trouver place et se lover, pour TENIR, s’y TENIR, un cocon, une place à soi, pour habiter le monde.
© Jeanne Paturel
