L'art de perdre
Sabrina Kouroughli
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
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Jusqu'au vendredi 25 avril 2025
Sabrina Kouroughli
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
Hélène choisit d’être efficace plutôt que bienveillante. En gros, elle n’a pas encore trouvé la manière positive de dire aux autres d’aller se faire voir. Dotée d’un style incisif et singulier, elle aborde la bêtise humaine sans détours, celles des autres bien sûr… Mais la sienne surtout.
Un bal extraordinaire qui vous emporte dans un vent de douce folie ! La compagnie réenchante le bal populaire et livre une version débridée des danses des années 20 aux années 80. Un pur régal pour les yeux, les esgourdes et les gambettes !
De et avec Nawar Bulbul.
Pamphlet théâtral où l'on découvre l’intolérance des comportements religieux à la lueur de l’actualité brûlante du Proche-Orient, par le jeu des imbrications entre les formes de pouvoir que prennent sur l’individu les coercitions politique, sociale et familiale, légitimées par la religion.
Les chorégraphes, Anne Teresa De Keersmaeker et Radouan Mriziga, explorent les "Quatre Saisons" de Vivaldi, emblématique et remarquable ode à la nature.
Douze danseur·se·s tissent un récit choral pour créer un petit monde. Un manifeste du vivre-ensemble, espiègle et plein de légèreté.
Sabrina Kouroughli
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
Une soirée, deux concerts électrisants ! Au programme du rock bien badass et des rythmes sauvages portés par le duo improbable des One Rusty Band et la familia du rock les Bloyet Brothers .
Le meilleur d’Albin de la Simone en une formule inédite : un concert où se mélangent chansons, dessins et prises de parole. Un tour du propriétaire d’une des œuvres les plus précieuses de ces 20 dernières années (et des cent prochaines, aussi).
Hélène choisit d’être efficace plutôt que bienveillante. En gros, elle n’a pas encore trouvé la manière positive de dire aux autres d’aller se faire voir. Dotée d’un style incisif et singulier, elle aborde la bêtise humaine sans détours, celles des autres bien sûr… Mais la sienne surtout.