Exporama - Les Jeux Olympiques, 1964-1980 - Raymond Depardon
Dans le cadre de l’Olympiade culturelle, programmation officielle des JO de Paris 2024, le Frac Bretagne propose un focus sur les photographies de Raymond Depardon couvrant 6 éditions des Jeux Olympiques entre 1964 et 1980.
Au cours des années 1990 et 2000, Raymond Depardon sillonne la France paysanne avec sa chambre photographique 6 x 9. De cette exploration du monde rural, il réalise des photographies en noir et blanc qui racontent la terre, les hommes, le travail manuel, l’isolement et la fragilité des petites exploitations agricoles mais aussi la beauté des paysages français.
Exporama - Son œil dans ma main - Raymond Depardon et Kamel Daoud
Le photographe français et l'écrivain algérien créent un livre et une exposition mêlant les photographies de l’un aux textes de l’autre. Ils dressent un pont entre deux époques d’un même pays, témoignent de ses turbulences et de sa beauté.
Découvrez les œuvres murales réalisées au cours des précédentes biennales d’art urbain de l’association Teenage Kicks, au rythme d’une balade à vélo à Rennes.
Tous les dimanches de cet été.
Lee Miller, correspondante de guerre, a couvert le siège de la ville de Saint-Malo, durant cinq jours et a réalisé un reportage pour le Vogue britannique.Une rétrospective de 54 tirages photographiques remarquables est présentée à la Chapelle de la Victoire.
L’ensemble des écussons produits par Blazers/blasons seront présentés au public mettant en lumière le foisonnement créatif autour d'un objet connu de toutes et tous, le patch brodé.
Chaque été, les visiteurs sont invités à découvrir les dernières acquisitions du Fonds communal d’art contemporain. L’exposition est un instantané qui témoigne de la vitalité de la création artistique. Peintures, sculptures, photographies, dessins et vidéos se côtoient et donnent à voir la diversité des expressions contemporaines.
Visibles toute l'année dans l'espace urbain à Rennes, les panneaux 4x3 de Lendroit éditions font découvrir les œuvres d'artistes contemporains invités à proposer au public des images grand format.
La pratique d’Olivia Etienne se nourrit de références à l’histoire de l’art et de l’humanité. La fluidité et le caractère immédiat du trait de fusain ou de pastel lui permettent de faire apparaître des formes qui se superposent, se mélangent et parfois s’effacent.
En détournant l’écriture de sa fonction de lisibilité, elle nous convie à bousculer l’ordre établi, par sa désobéissance aux règles typographiques, elle nous incite à cultiver notre libre-arbitre, lorsque ses lettres se muent en symboles, c’est un encouragement à douter, à voir le monde différemment.