En considérant les technologies numériques comme source d'inspiration, les artistes déconstruisent leurs usages et les détournent à des fins poétiques. Liés par la matière et les technologies, les œuvres semblent dialoguer via d’étranges moyens d’expression.
Première exposition rétrospective consacrée au peintre Noël Coypel (Paris, 1628-Paris, 1707). Coypel mena une carrière exemplaire sous le règne de Louis XIV en participant à tous les chantiers les plus prestigieux de son temps dont celle du décor de la Grand’Chambre du Parlement de Bretagne.
Peter Briggs - Faire, refaire, céramiques et plaques émaillées
Issu d'un recyclage venant de l'industrie, le travail du sculpteur Peter Briggs présente des assemblages de terres cuites et recuites et des dessins d'émaux sur plaques d'acier.
Vernissage 21 février à 18h30.
Cette série de photographies donne à voir les agents du Département, œuvrant quotidiennement au sein des espaces naturels départementaux. Des portraits en noir et blanc, des scènes de travail, des outils entreposés dans les ateliers... Le photographe François Faguet met en valeur le travail des salariés en insertion et des encadrants de façon artistique et sensible.
Enracinée dans les paysages de Norvège, la trilogie « Under Earth » d’Ingrid Torvund et Jonas Mailand développe un univers onirique et inquiétant. Le public pourra découvrir les films ainsi qu’une sélection d’artefacts et de costumes ayant servis à leur réalisation.
L'exposition questionne le rapport qu'entretiennent les vivants à la mort et aux morts. Le parcours riche de près de 300 objets propose une plongée dans la diversité des pratiques culturelles liées aux rituels funéraires. De la pompe funèbre du XIXe siècle en France, à la pratique de « danse du cercueil » ghanéenne, les objets présentés témoignent de la volonté des êtres humains à donner du sens à la vie.
Exposition des photographies brodées et perforées de Sabatina Leccia. Des paysages étranges qui invitent à la déambulation onirique. Vernissage le mardi 19 mars à 18h en présence de l’artiste
En partenariat avec Sirennes, festival des cultures de l’imaginaire. Exposition soutenue par webzine culturel Unidivers.
L’exposition questionne la notion d’échelle, le rapport au corps et trouve son origine dans des illustrations autour de l’architecture du quartier Colombier. Du dessin à la sculpture, Valérian Henry réalise l’inventaire d’un paysage urbain, démultipliant les formes architecturales pour créer un alphabet minimaliste et ludique.
Fruit de la rencontre avec le lieu, les fils se tendent dans différentes directions, tissent leurs toiles, se connectent, rebondissent entre le sol et les poutres. Dans un jeu de transparence, la chapelle plonge dans une atmosphère diaphane et colorée.