Dans ce spectacle je raconte tout. Mes proches me disent que ce n'est pas une bonne idée.
Forcément.
Mais comme je n'aime pas qu'on me dise ce que je dois faire, je vais même en raconter un peu plus que prévu.
Et tout est vrai.
Cie La Boîte à sel
Une brigade acoustique mène l’enquête et entraîne le public dans un univers de film noir, drôle et décalé. Ils font face à une situation aussi étrange qu’improbable : les sons disparaissent un à un de la surface de la Terre laissant place au silence.
© Frédéric Demesure
Cie La Boîte à sel
Une brigade acoustique mène l’enquête et entraîne le public dans un univers de film noir, drôle et décalé. Ils font face à une situation aussi étrange qu’improbable : les sons disparaissent un à un de la surface de la Terre laissant place au silence.
© Frédéric Demesure
De Olivier Martin-Salvan et Pierre Guillois. Un irrésistible « road trip », fusion des délires d'un cabaret cartoonesque et d'une épopée fantastique truffés d'idées aussi géniales que farfelues. L'humour est effectivement redoutable dans cette incroyable performance et offre une vivifiante cure de rire.
Sabrina Kouroughli
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
De et avec Nawar Bulbul.
Pamphlet théâtral où l'on découvre l’intolérance des comportements religieux à la lueur de l’actualité brûlante du Proche-Orient, par le jeu des imbrications entre les formes de pouvoir que prennent sur l’individu les coercitions politique, sociale et familiale, légitimées par la religion.
Sabrina Kouroughli
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
De et avec Nawar Bulbul.
Pamphlet théâtral où l'on découvre l’intolérance des comportements religieux à la lueur de l’actualité brûlante du Proche-Orient, par le jeu des imbrications entre les formes de pouvoir que prennent sur l’individu les coercitions politique, sociale et familiale, légitimées par la religion.
Texte Gary Owen - Cie Public Aléa. Un père dont le fils a été tué par des adolescents adeptes de «Killology», un jeu vidéo ultraviolent, s'introduit chez le concepteur dudit jeu pour se venger. La compagnie PUBLIC ALÉA ouvre le débat sur la possible influence de la fiction sur les comportements humains.
Ce seul en scène intime vient toucher les zones sensibles de l’âme humaine. Avec une touche d’humour, la pièce décortique le mécanisme de l’endoctrinement, ici, celui des pensées masculinistes
