Flèche Love
Une voix transperçante et une présence scénique sulfureuse qui vous propulse dans un voyage sensoriel, Flèche Love est libre comme l’air et donne envie de l’être aussi.
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Une voix transperçante et une présence scénique sulfureuse qui vous propulse dans un voyage sensoriel, Flèche Love est libre comme l’air et donne envie de l’être aussi.
Textes de Marc Favreau (Sol)
Mise en scène de Michel Bruzat. Jeu : Marie Thomas.
Marie Thomas, de son corps frêle et élastique, de sa voix timbrée comme les pépiements de l’oiseau et de sa grâce volage de papillon, incarne un Sol presque plus ingénu que l’original.
Des rubans qui tournoient et des papillons dans le ventre : est-ce que c’est ça l’amour ?
En quelques titres seulement, Solann dévoile les contours d’un univers musical fait de tensions retenues et d’explosions libératrices, de pop et de néo-folk. Son titre Rome, tiré de son premier E.P. Monstrueuse, s’est imposé comme une évidence dès sa sortie ! Avec sa voix à la douceur cristalline, Solann fascine, soigne et ensorcèle.
Alors que son précédent spectacle Non, je n’irai pas chez le psy avait attiré plus de 250 000 spectateurs, Manon Lepomme revient en très grande forme avec une nouvelle performance et confirme être une valeur sûre de l’humour belge.
Théâtre le Grand Bleu
Ricochets raconte avec drôlerie et sensibilité les mésaventures d’une jeune ourse polaire malmenée par le réchauffement climatique. Deux comédiennes, quelques objets, des chansons. Une forme tout terrain. Pour mieux comprendre notre monde à la dérive.
© Simon Gosselin
Théâtre le Grand Bleu
Ricochets raconte avec drôlerie et sensibilité les mésaventures d’une jeune ourse polaire malmenée par le réchauffement climatique. Deux comédiennes, quelques objets, des chansons. Une forme tout terrain. Pour mieux comprendre notre monde à la dérive.
© Simon Gosselin
Textes de Marc Favreau (Sol)
Mise en scène de Michel Bruzat. Jeu : Marie Thomas.
Marie Thomas, de son corps frêle et élastique, de sa voix timbrée comme les pépiements de l’oiseau et de sa grâce volage de papillon, incarne un Sol presque plus ingénu que l’original.
"On ne devrait jamais révéler le prénom à ses proches avant que l'enfant soit là."
Alors que son précédent spectacle Non, je n’irai pas chez le psy avait attiré plus de 250 000 spectateurs, Manon Lepomme revient en très grande forme avec une nouvelle performance et confirme être une valeur sûre de l’humour belge.