L’écurie de la 75e session est à l’honneur de ce plateau : Zinée avec sa voix si particulière, et Jeune Mort avec des textes plus sombres, nous partagent leur histoire et leur vision du monde. Deux artistes montants de la famille du Dojo, à suivre attentivement !
Les titres de Naza, aux sonorités afro, avec un subtil mélange de trap et de rumba congolaise, donnent envie de faire la fête, danser et chanter ! Il revient en 2024 avec Nazaland, sur lequel on retrouve notamment le titre Quillé (ft. Ninho). La tournée, pour laquelle il sera accompagné par ses musiciens, passera par Saint-Malo !
Convaincue que le soleil est en chacun, tout comme l’absurdité, la bizarrerie et la joie de rire !
Soleil, est une heure à rire ensemble dans une salle obscure. Un crépuscule de blagues comme le soleil où tout tourne autour de moi, de vous, de nous.
AURÉLIE CHARON / AMÉLIE BONNIN. VIVANTES prend la forme d’un dialogue entre 3 jeunes femmes de Syrie, Bosnie et Ukraine, dont les histoires, traversées par les guerres, tissent un récit intime et choral.
Imaginé avec et pour les jeunes acteurs et actrices de l’École du TNB, par Pascal Rambert, Dreamers #2 transporte leurs paroles et pensées dans les vertiges d’une rave.
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Ouverture de résidence. Guillaume Vincent invite le public à découvrir une étape de sa future création dans un lieu inédit du TNB : la chaufferie.
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Comment un corps incapable de marcher danse-t-il? La chorégraphe italienne Chiara Bersani (Italie) et ses interprètes nous invitent dans le sous-bois d'une forêt imaginaire.
En écho à son enfance, la chorégraphe Chiara Bersani, s'interroge sur notre capacité à faire face à l'adversité, à se mouvoir dans l'espace malgré un corps empêché.
Alice Vannier explore l'aventure de la psychothérapie contemporaine et interroge notre relation à la folie, sur le modèle de La Borde, une clinique avant-gardiste créée par le Dr Jean Oury en 1953.
Armée d’une énergie brute, une insolence rock’n’roll et une tendre poésie, Stéphane raconte aujourd’hui ses histoires, et celles des autres comme si elles étaient siennes. Avec un naturel désarmant, elle devient finalement celle qu’elle doit être. Comme si c’était écrit.
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