Ce seul en scène intime vient toucher les zones sensibles de l’âme humaine. Avec une touche d’humour, la pièce décortique le mécanisme de l’endoctrinement, ici, celui des pensées masculinistes
De T. Bernhard, avec Jean-Claude Bolle-Reddat.
Confidence inattendue et jubilatoire de l'auteur, charge dévastatrice, contre les fascistes et les bien-pensants de tous poils, et contre lui-même… Humain, trop humain... Une situation tragi-comique à partager, sans concession, avec le public.
De T. Bernhard, avec Jean-Claude Bolle-Reddat.
Confidence inattendue et jubilatoire de l'auteur, charge dévastatrice, contre les fascistes et les bien-pensants de tous poils, et contre lui-même… Humain, trop humain... Une situation tragi-comique à partager, sans concession, avec le public.
Cette conférence fulgurante sur le cosmos et l’apparition de l’espèce humaine est une merveilleuse approche de l’histoire de nos origines, simple et étonnante.
A mi-chemin entre un cabaret, une soirée disco et un match de basket. Le temps d’une soirée, le public découvre ou redécouvre trois grands classiques du théâtre : Roméo et Juliette, Dom Juan et Médée, présentés dans deux mises en scène successives, le tout en 10 minutes.
Mêlant théâtre, mime et musique, cette adaptation de Pinocchio pour la cour de récréation propose une lecture ludique et exutoire du conte, en partant de la cour d’école comme lieu de jeux, de conflits et de compréhension du rapport à l’autre
Une histoire de filiation, de transmission, entre un père immigré et sa fille.
Une histoire de filiation, de transmission, entre un père immigré et sa fille.
Label vie, l’effet papillon pose la question : comment une structure collective continuet-elle à satisfaire ceux et celles qui en sont membres ? Entre humour, finesse et impertinence, la magie du jeu de rôle de cette pièce implicative amène avec plaisir au vivre ensemble.
Avec une belle sobriété et des émotions justement dosées, ce spectacle nous parle de déracinement, d’héritage et d’identité. D’une grande justesse, ce témoignage fort et doux à la fois est comme un hommage à tous·tes les exilé·es.
